Antarctic Center

Antarctic Center

Près de l’aéroport de Christchurch, se trouve le centre international de recherche sur l’Antarctique. C’est le point de départ des scientifiques qui partent sur la base Scott.

A coté se trouve un bâtiment accessible au grand public .C’est comme un musée qui sensibilise sur cet immense territoire qu’est le pôle sud.

Apparemment, le ridicule ne tue pas!

On en apprend plus sur Robert Scott, l’anglais qui a mené la première (1901-1904) et la 3ème (1910-1913) expédition sur ce continent de glace et qui a donné son nom à la base scientifique internationale.

Il y a un simulateur des conditions climatiques: -8° et ventilation pour le vent. D’autant plus si on est en short… ça pèle!

Il y avait un film en 4 D sur l’Antarctique et un parcours extérieur en véhicule à chenilles (Hagglund), ceux utilisés sur la base. Il y a également sur place une sorte de refuge pour pingouins bleus blessés (pingouins que l’on trouve sur certaines plages de Nouvelle-Zélande).

Christchurch

Christchurch

Christchurch est la deuxième ville du pays. En 2010 et 2011, elle connait 2 très gros séismes qui détruisent de très nombreux monuments. Depuis, elle se reconstruit doucement. C’est étrange de se promener entre des monuments flambants neufs, des chantiers et des ruines.

Nous sommes allés voir un musée sur les tremblements de terre et en particulier sur ceux de 2010/2011. C’est difficile de se rendre compte des dégâts que ça peut engendrer. (Voici 3 photos prises au musée)

Heureusement, nos équipes étaient sur le coup en ce qui concerne la reconstruction!

La cathédrale a été particulièrement touchée.

Nous sommes allés voir la « cathédrale de transition » conçue par le japonnais Shigeru Ban  » et érigée en 11 mois seulement. Elle est appelée « cathédrale en carton », en référence aux 98 colonnes en carton de sa structure.

Un mémorial pour les 185 personnes décédées lors des derniers séismes se trouve juste à côté.

Malgré les stigmates que porte la ville, elle parait gaie, agréable…le « street art » y a trouvé sa place.

Parcs de jeux

Parcs de jeux

C’est trop bien en Nouvelle-Zélande, il y a plein de parcs de jeux. Ils sont super grands. Il y a des toboggans qui vont hyper vite et des barres de pompiers qui sont super grandes!

Ce que j’ai préféré pour l’instant, c’est le bateau avec un toboggan qui tombait dedans et une immense tyrolienne.

Une photo pour mon cousin Maxime!

Bisous tous le monde de Mali.

Kaikoura: (partie 2)

Kaikoura: (partie 2)

Le lendemain, la mer était moins démontée. Nous avons pu embarquer pour une virée de 3 heures en mer.

Au bout d’ à peine une 1/2 heure, les moteurs se sont coupés ,on était sur le 1er site d’observation, et on a découvert…

UN CACHALOT GEANT!!!! Toutes les 50 minutes, les cachalots remontent à la surface 10 minutes pour respirer avant de replonger au delà de 1500 mètres de profondeur. Celui que nous avons vu est un mâle qui mesure de 15 à 20 mètres de long.

Evidemment, nous étions scotchés. Le capitaine nous a ensuite amené sur un site où nous avons fait « chou-blanc » puis sur un 3ème.

Et là…

…des dauphins Dusky, une espèce de petits dauphins acrobatiques que l’on trouve dans l’hémisphère sud.

Et pour finir en apothéose, sur un dernier site : une baleine à bosse femelle avec son baleineau !!!

C’est une grande chance de les apercevoir car à la différence des cachalots géants , les baleines à bosse migrent.

Journée incroyable pour tous les 6, on avait des étoiles dans les yeux ( enfin, des baleines!)

Et en plus, en quittant la ville, on s’est arrêté sur le bord de la route prendre une photo et qui on voit?

…nos copines les otaries!

Kaikoura: (partie1)

Kaikoura: (partie1)

Le ferry nous a déposé à Picton. De là, nous sommes descendus en 2 jours à Kaikoura (petite ville sur la côte est). Les paysages étaient toujours aussi magnifiques. Même faire de la route devient un moment agréable!

Sur la dernière portion de route avant d’arriver à notre destination, un message jamais vu s’est affiché sur le gps.

En effet, en 2016, un séisme de magnitude 7.8 sur l’échelle de Richter a frappé Kaikoura. Il a eu pour conséquences de rapprocher l’île du sud de 5 mètres de l’île du nord et provoquer un soulèvement côtier de 1 à 8 mètres sur près de 120 kms .

Lundi, il y avait beaucoup de vent et la mer était déchaînée. L’excursion en bateau que nous avions réservée a été annulée.

Du coup, nous sommes allés nous balader sur la péninsule plus au sud de la ville à la rencontre de…

…Otaries à fourrure!!!!

C’était magique! Il y avait aussi des colonies de mouettes, on avait l’impression d’être dans un Thalassa!

Wellington

Wellington

Nous décidons de tracer directement sur Wellington. Enfin, directement pour nous, ça veut dire en 2 jours!

Wellington est la capitale politique et culturelle de la Nouvelle-Zélande. Elle est de taille modeste pour une capitale (population d’environ 413000 habitants). C’est une ville-port cosmopolite vraiment très agréable.

Comme nous y étions du vendredi au dimanche, la ville était très animée avec des concerts, des décorations de noël, les loisirs d’eau dans la baie et du monde en terrasse qui savoure les premières chaleurs printanières.

Nous sommes allés visiter le musée national « Te Papa ». On y trouve: une collection d’objets maoris, un section consacrée à l’histoire naturelle et l’environnement et une sur l’histoire de la nouvelle-Zélande et du pacifique. Il y avait aussi une cabine de simulation de tremblement de terre.

Nous avons visité le jardin botanique et pris le « Cable car » (comme à San Francisco!).

Un petit « fish and chips » et ça repart!

Nous prenons le ferry pour l’île du sud mais nous repasserons quelques jours à Wellington sur le chemin du retour. Cette ville nous a beaucoup plu.

En cadeau: une photo de Solène en mission « toilettes » à la « dumping station »!

Le Mont Taranaki

Le Mont Taranaki

Après New-Plymouth, nous sommes allés randonner sur le mont Taranaki (volcan éteint) qui se trouve au milieu du parc national Egmont. Avec ses 2518 mètres de hauteur, il est splendide avec la neige sur le sommet du cône. Nous nous sommes contentés de faire une rando de 2 heures au milieu d’une végétation magnifique.

Apparemment, c’est un endroit où l’on aurait pu observer des Kiwis ( oiseau endémique de Nouvelle-Zélande). Malheureusement, on est passé à côté…

New-Plymouth

New-Plymouth

En reprenant la route pour rejoindre New-Plymouth, nous avons voulu voir les « three sisters ». Ce sont 3 rochers aux formes singulières à cause de l’érosion. Mais pour aller les observer il faut passer à marée basse… la mer était en train de remonter et on avait déjà de l’eau au dessus du genou. Alors, on a rebroussé chemin.

A New-Plymouth, on en a profité pour faire une ballade en front de mer. C’était animé: certains surfaient ou kite-surfaient, d’autres s’entraînaient au sauvetage en mer, beaucoup de garçons faisaient du skate ou de la trottinette…

Les grottes de Waitomo

Les grottes de Waitomo

Ce sont des grottes dans lesquelles on peut voir de nombreuses stalactites et stalagmites. On s’enfonce dans les entrailles de la terre pour se retrouver dans une grande cavité appelée « la cathédrale ». Et pour finir, il faut monter dans une barque sur une rivière souterraine afin d’observer dans le noir total des milliers de vers luisants . Pour le peu que j’ai vu c’était magnifique, mais je me suis déjà challangée un max pour rentrer dans la grotte donc je me suis autorisée de fermer les yeux de temps en temps et d’écouter de la musique!

Je n’ai que la photo de l’extérieur car les appareils photos sont interdits pour protéger le site.

Après toutes ces émotions, nous avons pris la route pour New-Plymouth. Les paysages sont vallonnés, verdoyants, très arborés… c’est un régal pour les yeux. On croise de nombreux troupeaux de vaches laitières et de petits moutons laineux. Je me dis qu’il n’aurait pas été nécessaire d’être 4 pour porter nos brebis si elles avaient eu le même gabarit! (Merci Alex et Ju mon beauf!)

En route, nous nous sommes trouvés une petite place pour passer la nuit, tout près de la plage. C’est le chouette côté du camping-car, se poser plus ou moins où l’on veut pour profiter du paysage.